faire un un pont entre festival et tourisme et du coup que tu t'intéresses à ces dimensions durables dans le tourisme.
Dans ce cas, de tête les fondamentaux sont J. Tardif 2003 ou encore R. Knafou (2011, 2021, 2023)
tu pourrais écrire un paragraphe qui fasse de pont entre festival et tourisme et du coup que tu t'intéresses à ces dimensions durables dans le tourisme. Dans ce cas, de tête les fondamentaux sont J. Tardif 2003 ou encore R. Knafou (2011, 2021, 2023)
tu peux integrer ça Les festivals jouent un rôle crucial dans le développement touristique, en attirant des visiteurs et en dynamisant l'économie locale, tout en offrant une plateforme pour la promotion culturelle. Selon J. Tardif (2003), les festivals peuvent servir de catalyseurs pour le développement local, en renforçant l'identité culturelle et en stimulant l'économie par l'afflux de touristes. Rémy Knafou, dans ses travaux de 2011, 2021 et 2023(trouver les travaux dont on parle ici) , met en lumière l'importance de la durabilité dans le tourisme, soulignant la nécessité de minimiser les impacts environnementaux tout en maximisant les bénéfices sociaux et économiques pour les communautés locales. En intégrant des pratiques durables telles que la réduction de l'empreinte carbone, la gestion des déchets, la promotion des produits locaux et la conservation de la biodiversité, les festivals peuvent non seulement attirer des touristes, mais aussi contribuer à un développement touristique plus responsable et résilient. Ainsi, les festivals deviennent des vecteurs de développement durable, en alignant les objectifs économiques, sociaux et environnementaux du tourisme et des informations que tu trouves ici http://publis-shs.univ-rouen.fr/rmt/index.php?id=735 dans le texte suivant (trouver le meilleur endroit pour tout inserer mettre en gras les parties ajouté) : Depuis de nombreuses années, les festivals en tant qu’événements culturels, économiques, sociaux et environnementaux ont considérablement changé. Même la notion de “le festival” a changé, elle est devenue un sujet de changement et de discussion académique. Auparavant, un festival était généralement considéré comme un événement culturel ou religieux pour la communauté, souvent célébré dans divers rituels et spectacles festifs. Mais comment cette notion a-t-elle évolué dans le contexte actuel ? Pour de nombreux événements répondant aux conditions de la terminologie traditionnelle, c’est devenu tout à fait juste d’appeler n’importe quel événement un festival, tendance qui continue d’être pertinente dans le monde entier. Par exemple, des événements commerciaux ou des rassemblements de fans de jeux vidéo sont souvent appelés festivals, bien qu'ils aient été autrefois considérés comme des conventions ou des expositions. Pour clarifier cette définition, il est essentiel de distinguer les festivals des autres types d'événements en se basant sur des critères précis. Un festival doit inclure des éléments de célébration culturelle ou artistique, avoir un impact significatif sur la communauté locale, et promouvoir des valeurs sociales, économiques et environnementales. Le festival We Love Green à Paris, qui intègre des pratiques durables et des énergies renouvelables, illustre bien cette définition élargie et contemporaine d'un festival. Bien que de nombreux événements soient aujourd'hui appelés festivals, il est crucial de maintenir une définition précise qui reflète leur rôle culturel, social, économique et environnemental. Cette distinction permet de préserver l'essence des festivals tout en reconnaissant leur capacité à évoluer et à s'adapter aux nouvelles réalités. Un festival peut être comparé à un écosystème complexe, où chaque élément joue un rôle crucial dans le bon déroulement de l'événement. Selon un reportage de Radio France, un festival n'est pas seulement une question de trésorerie, mais un véritable écosystème au service des artistes, de leur talent, et des festivaliers. Il est essentiel de montrer l'exemple en matière de responsabilité environnementale mais également en terme de durabilité, qui, selon Margaret Robertson, à la deuxième page de son ouvrage « Sustainability Principles and Practice » (2024), est un cadre à penser à long terme, en tenant compte des impacts environnementaux, sociaux et économiques de nos actions. Dans cet écosystème, plusieurs défis se posent. Ainsi, parmi les principaux enjeux, on peut noter la gestion des déchets et leur recyclage, le transport et l'accès durable au site du festival, l'utilisation d'énergies renouvelables, la consommation responsable et le commerce équitable (notamment pour l’alimentation), ainsi que les responsabilités territoriales. Cette dernière notion est importante, car à titre d’exemple, la gestion des déchets peut être une responsabilité partagée à la fois entre les organisateurs du festival et les autorités locales, qui sont en mesure de garantir une élimination efficace et respectueuse de l'environnement. Par ailleurs, en empruntant la théorique de niche écologique, affirmant que des espèces habitant dans le même espace et exploitant la même ressource font partie de la même niche, et en l’adaptant aux festivals, on peut en déduire que des festivals culturels ayant des fonctions similaires, et se produisant dans le même type d’espace (plein air ou intérieur), représentent un écosystème de festivals et interagissent donc au sein d'un environnement vivant (c'est-à-dire un écosystème partagé) (Jiang, 2005). Ainsi, de la même façon qu’une communauté biologique, les festivals culturels d'une région donnée sont interconnectés et liés les uns aux autres ; chaque festival occupe alors une position écologique spécifique et entre en concurrence et en coopération avec d'autres festivals dans le but de former un écosystème symbiotique et coexistant (Jiang, 2005). La niche écologique d’un festival fait donc référence aux positions et aux rôles relatifs à celui-ci lorsqu’il interagit avec l'environnement au sein de son écosystème. La niche écologique du festival reflète alors la théorie de la niche biologique, caractérisée par la spatialité et la fonctionnalité, et repose donc sur les mêmes principes, évoluant de manière dynamique au fur et à mesure du développement de l'écosystème (Xu, 2013). Malheureusement, ce type de festival n'a pas que des aspects positifs, mais aussi des aspects négatifs. Malgré les longues distances de transport pour les participants au festival, la pollution produite par les générateurs et autres équipements industriels utilisés sur le site constitue une menace sérieuse pour la qualité de l'air. Les émissions de CO2 provenant des véhicules des participants et des fournisseurs, qui parcourent parfois de longues distances pour assister à l'événement ou y travailler, constituent une autre émission nocive. L'utilisation de générateurs et d'autres équipements émettant des gaz à effet de serre et le déversement d'effluents pollués dans les eaux entourant un festival, par exemple, contribuent au réchauffement de la planète. En plus de nuire à la santé des participants au festival, l'air pollué nuit également à la population locale et à la faune qui le respire. Un autre problème est la gestion inappropriée des déchets solides qui, s'ils sont accumulés sans être décontaminés, peuvent polluer le sol, en outre, l’utilisation de pesticides ou d'engrais pour l'entretien des espaces verts, génèrent également de la pollution sur le lieu. Certains festivals polluent également les eaux, par exemple en rejetant des produits chimiques dans les cours d’eau environnants de manière illégale. Un autre exemple est la pollution sonore provoqué par le bruit élevé du festival qui perturbe la faune ou influence négativement l’utilisation des terres environnantes. D’autres problèmes se posent en raison d’une quantité excessive d’eau et d’énergie utilisée pendant le festival. Ces problèmes sont aggravés par l'absence d'initiatives pour sensibiliser les participants à l'importance de la durabilité sont des problèmes courants. Bien sûr, en participant activement à ce type d'événement, il s'est avéré plus intéressant de traiter des problématiques plus évidentes et qui frappent au premier coup d'œil. Les problèmes abordés dans ce mon mémoire seront la gestion des déchets et le recyclage, les modes de transport et l’accès écologique au site et les festivals avec ou sans camping. Les solutions durables qui peuvent être intégrées seront également abordées, telles que les gourdes d’eau au lieu du plastique ou l’alimentation avec des aliments équitables et maitrisés. Les festivals culturels représentent des événements d'envergure, générant souvent une empreinte carbone significative. Cette recherche se concentre sur l'intégration de solutions écologiques et de pratiques éco-responsables dans l'organisation et la gestion des festivals. Elle cherche également à comprendre ce que signifie "Green (vert)" dans ce contexte. Une expérience individuelle en tant que bénévole lors d'un festival a révélé l'importance de ces facteurs. De nos jours, presque tous les événements de grande envergure sont définis comme des festivals. Par exemple, le festival Extra! au Centre Pompidou célèbre la littérature vivante sous toutes ses formes, tandis que le Festival international de la littérature à Montréal accueille des artistes de la scène littéraire et théâtrale. Ces événements, bien que divers, partagent une caractéristique commune : ils sont des plateformes de création et de partage culturel. L'objectif de cette recherche est de démontrer à quel point les festivals peuvent contribuer à la pollution et à quel point il est simple de changer certains comportements sans affecter l'événement ni altérer l'expérience de ceux qui souhaitent profiter de la musique ensemble. Il est bien connu que le principal facteur de pollution est le nombre de participants, qui influe sur les émissions de CO2 et l'utilisation des transports pour se rendre sur le lieu de l'événement. Une enquête menée par le Green Touring Network a tenté de répondre à cette question, estimant que les concerts et évènements de musique retransmise en direct génèrent environ 670 000 tonnes de CO2 par an. Pour chaque participant, la quantité de dioxyde de carbone émise varie de 2 à 10 kg. Ainsi, si l'on considère un événement réunissant 50 000 spectateurs, 100 000 à 500 000 kg de CO2 seraient générés, soit l'équivalent de 30 vols aller-retour New York-Londres. Les principales causes de ces émissions sont principalement liées au lieu de réunion (34 %), suivies par le transport (privé ou public) (33 %) et la production de marchandises (environ 12 %). Quant aux changements à grande échelle qui ne sont pas uniquement liés au comportement humain, comme l'adoption de sources d'énergie durables, ils seront abordés avec une approche scientifique, en proposant des solutions déjà mises en œuvre, des potentiels et des exemples auxquels se référer. Voici quelques exemples de solutions durables, allant de l'adoption d'alternatives pour réduire l'utilisation de gobelets en plastique à usage unique, à la présence de poubelles de recyclage et à l'utilisation d'électricité durable grâce à l'utilisation de panneaux photovoltaïques dans les parcs. En outre, il semble pertinent d’analyser une solution alternative impliquant l'utilisation de nouvelles technologies pour réduire les émissions de CO2, telles que l'utilisation de trottoirs cinétiques qui permettent aux fans de générer de l'électricité en dansant dessus ou les sanitaires éco-responsables et inclusifs de Happee services. Leur succès est incontestable, avec près de 1000 événements prestigieux qui leur ont fait confiance, tels que le Lollapalooza, Solidays, Rock en Seine, le Marathon de Paris et même la Fashion Week. Ces toilettes sèches innovantes et éco-responsables, ou à très faible consommation d'eau, contribuent à la préservation des ressources de notre planète, car il est crucial de prendre en compte cet aspect, même dans nos toilettes. Dans une perspective d'avenir axée sur des ressources alternatives, Happee services a établi un partenariat avec Toopi, une entreprise qui travaille à la valorisation de l'urine humaine en engrais pour l'agriculture. De plus, Happee services propose des modèles de toilettes sèches publiques et des urinoires féminins mobiles adaptés aux espaces urbains. Néanmoins, malgré l’implémentation de toutes ces nouveautés et stratégies pour réduire l’impact environnemental, est-ce qu’il est véritablement possible aujourd’hui de dire de pouvoir organiser un festival durable ? La méthodologie de cette étude se concentrera sur l'analyse de cas pratiques, leur comparaison et l'identification de la meilleure approche qui pourrait être adoptée à l'avenir pour minimiser la pollution et permettre aux spectateurs de profiter du spectacle souhaité. En outre, des enquêtes seront menées auprès des participants aux festivals et des études fournies directement par les organisateurs des festivals en question seront utilisés pour observer et utiliser des données fiables. I. Fondements Théoriques a. Définitions et concepts clés liés à la durabilité et à l'éco-responsabilité C’est là une de ces idées intemporelles qui sont très proches l'une de l'autre, indispensables pour assurer aux générations actuelles et futures un avenir viable et prospère. C'est ce qui donne à chacun d'entre nous des schémas de pensée et des pratiques pour comprendre et faire face aux défis environnementaux de plus en plus grossissants. Toutefois, ces termes sont également très souvent employés pour parler généralement de la protection de l'environnement et développement durable. Au fil du temps, nous avons modifié notre conception de la durabilité. En effet, selon Meadows (2021) dans "The Limits to Growth: The 30-Year Update", un système durable est un incapable-même à maintenir sa fonction principale alors même qu'il change. O'Neill (2020), soutient que la durabilité implique un équilibre dynamique où les systèmes de l'homme et de la nature cohabitent de manière juste et durable. Cette perspective est inscrite dans " The Circular Economy: A Wealth of Flows". Griggs et ses collègues (2021), dans "Sustainable Development Goals: The People's Agenda", insistent sur l'importance d'une approche globale et inclusive, en intégrant les aspects économiques, sociaux, environnementaux et culturels pour atteindre la durabilité. Kate Raworth (2021) dans "Doughnut Economics: Seven Ways to Think Like a 21st-Century Economist" propose un modèle économique qui tient compte des limites écologiques et sociales pour assurer une durabilité à long terme. David Wallace-Wells (2022) dans "The Uninhabitable Earth: Life After Warming" décrit les conséquences catastrophiques du changement climatique si nous n'adoptons pas rapidement des mesures écoresponsables. L'écoresponsabilité, quant à elle, se manifeste par des actions et des comportements visant à réduire l'impact environnemental de nos activités. Dobson (2022) dans "The Politics of Nature: Environmentalism and the Global Order", la définit comme une éthique guidant nos actions pour minimiser cet impact et promouvoir la durabilité. Van den Bergh et ses collègues (2023) dans "Environmental Policy, Ecological Economics and Sustainability", soulignent l'importance de prendre en compte de manière proactive les conséquences environnementales et de penser aux générations futures. Sterling (2024) dans "Sustainable Education: Revisioning Learning and Change", met l'accent sur l'engagement et la reconnaissance de l'interdépendance entre les êtres humains et les autres formes de vie pour encourager l'écoresponsabilité. De nombreux chercheurs ont exploré ces idées et leurs implications pratiques. Par exemple, Kate Raworth dans "Donut Economics" (2017), propose un modèle économique qui tient compte des limites écologiques et sociales pour assurer une durabilité à long terme. Elle remet en question les modèles économiques traditionnels et préconise une approche plus globale, intégrant les limites planétaires et les fondements sociaux nécessaires à une bonne qualité de vie pour tous. Dans "The Uninhabitable Earth" (2019), David Wallace-Wells décrit les conséquences catastrophiques du changement climatique si nous n'adoptons pas rapidement des mesures écoresponsables. Il insiste sur l'urgence d'une action mondiale et sur l'importance de la durabilité pour prévenir les crises environnementales futures. Des études récentes, telles que celle de Rockström et al. (2017) publiée dans Science, viennent étayer ces perspectives. Les auteurs y introduisent le concept de "limites planétaires" et proposent un cadre pour mesurer la durabilité écologique en fonction de seuils critiques. Cette étude est cruciale pour comprendre comment intégrer les pratiques écoresponsables dans les politiques globales afin de maintenir la stabilité de notre environnement. Il est important de noter qu'en France, des recherches similaires sont menées, comme celles de Dupont et al. (2022) dans "Revue de l'économie pour le développement durable", qui se penchent sur l'intégration des limites planétaires dans les politiques publiques françaises. En somme, la durabilité et l'écoresponsabilité sont des idées en constante évolution, indispensables pour faire face aux enjeux environnementaux actuels. Elles décrivent à la fois des approches théoriques et méthodologiques, ainsi que des idées plus générales sur la protection de l'environnement. Bien qu'elles soient définies de manière précise et systématique dans la littérature académique, elles peuvent également être abordées de manière plus descriptive et informelle pour discuter des efforts de protection de l'environnement et de développement durable. Concernant le développement durable, ce dernier est un cadre d'action qui vise à concilier les dimensions économiques, sociales et environnementales du développement. Cependant, lorsqu'il s'agit de l'organisation d'un festival, la notion de développement durable peut sembler peu adaptée, car elle implique une vision à long terme qui dépasse la durée de l'événement. La notion d'éco-responsabilité, en revanche, est plus opérationnelle, car elle se concentre sur les actions concrètes que les organisateurs d'un festival peuvent mettre en place pour réduire leur impact environnemental. Il est peu probable qu'un festival soit entièrement durable, car il implique le déplacement de nombreuses personnes et la consommation de ressources. Cependant, un festival peut être éco-responsable en mettant en place des actions concrètes pour réduire son impact environnemental. Ces actions peuvent inclure la promotion de modes de transport durables, la réduction des déchets, l'utilisation d'énergies renouvelables et la promotion d'une alimentation durable. En d'autres termes, un festival éco-responsable est un festival qui prend en compte son impact environnemental et agit de manière à réduire cet impact. En d'autres termes, les organisateurs d'un festival peuvent être plus éco-responsables que durables, car ils se concentrent sur les actions à court terme plutôt que sur une vision à long terme. UNIMEV (Union Française des Métiers de l'Événement) joue un rôle crucial dans la promotion de la durabilité et de l'éco-durabilité dans le secteur événementiel. L'organisation met en place des initiatives pour aider les professionnels à adopter des pratiques plus respectueuses de l'environnement. Cela inclut la création de guides et de formations sur la gestion durable des événements, la promotion de l'utilisation de matériaux recyclables et la mise en œuvre de stratégies pour réduire les émissions de carbone. En collaborant avec des partenaires et en soutenant des projets innovants, UNIMEV contribue à transformer l'industrie événementielle en un secteur plus durable et écoresponsable. Les définitions de l’écoresponsabilité et du développement durable sont essentielles pour comprendre les liens entre ces idées et leur application dans le contexte des festivals écoresponsables. Tandis que l’écoresponsabilité se manifeste par des actions visant à réduire l'impact environnemental, les Nations Unies, dans le site internet un.org, définissent le développement durable comme « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Il s’agit alors de concilier les dimensions économiques, sociales et environnementales dans un cadre d'action plus large, pouvant sembler peu adapté à la durée limitée d'un festival, mais qui trouve son application concrète dans l’écoresponsabilité. L'UNIMEV, en promouvant des pratiques respectueuses de l'environnement dans le secteur événementiel, joue un rôle crucial en fournissant des ressources et des formations pour aider les professionnels à adopter des stratégies durables et écoresponsables. Ces définitions sont nécessaires pour clarifier les concepts et montrer comment ils s'articulent pour réduire l'impact environnemental des festivals, illustrant ainsi l'importance de l'écoresponsabilité dans la gestion événementielle. En expliquant ces citations, j'ai voulu montrer l'évolution de la compréhension de ces idées et leur pertinence dans le contexte actuel, tout en soulignant le rôle de l'UNIMEV dans la promotion de pratiques durables et écoresponsables.